Lexique Horloger
A
Acier ayant subi un traitement d’oxydation, soit par une méthode traditionnelle de chauffage, soit par une méthode plus récente de traitement chimique, lui procurant une couleur bleue caractéristique tant pour des raisons esthétiques que pour le protéger le métal de la corrosion.
Tige de métal se déplaçant progressivement sur une échelle pour indiquer une mesure ou une unité.
Complication qui alerte avec un signal sonore et parfois des vibrations l’utilisateur à une heure prédéfinie. Plus souvent sur des montres à quartz, mais également présente sur certaines montres mécaniques.
Rotation du balancier, que ce soit dans le sens des aiguilles d’une montre ou dans le sens inverse. En moyenne, une montre mécanique oscille à 28 000 alternances par heure.
À chaque rotation qu’il effectue (dans le sens des aiguilles d’une montre puis dans l’autre), le balancier effectue une rotation d’un angle défini appelé amplitude, compris entre 275 et 315 degrés.
Se dit d’une méthode de représentation du temps utilisant un dispositif en mouvement continu, avec dans la plupart des cas des aiguilles rotatives ou pivotantes.
Ou « ana-digi ». Se dit d’une montre à deux affichages : l’un analogique (aiguilles) et l’autre numérique (chiffres). Très souvent sur des mouvements à quartz, mais quelques exceptions existent.
Technique qui consiste à ajouter un chanfrein, aussi appelé biseau, aux arrêtes situées entre la surface et les flancs d’une pièce du mouvement afin de les adoucir. Cette finition est à la fois décorative et fonctionnelle, car elle permet d’éviter une chute de débris lors du fonctionnement du mouvement et donc d’en endommager le mécanisme.
Unité de pression utilisée pour indiquer l’étanchéité d’une montre. La pression augmentant avec la profondeur, la résistance à la pression de la montre doit être plus importante pour garder sa jointure intacte et donc son étanchéité. En simplifiant, on peut considérer qu’1 ATM = 1 bar.
Se dit d’un mouvement remonté selon le cas soit par une masse oscillante qui tourne avec le mouvement naturel du poignet, soit par une couronne.
B
Roue mesurant en général un centimètre de diamètre et oscillant sur son axe de rotation, lui-même relié à un ressort (spiral) accouplé à un système régulateur (échappement), lui permettant ainsi de décrire un mouvement régulier alternant entre le sens des aiguilles d’une montre et le sens inverse, et divisant ainsi le temps en intervalles égaux.
Ensemble formé d’une roue dentée et d’une boîte cylindrique fermée par un couvercle qui contient un ressort moteur destiné à délivrer l’énergie nécessaire pour faire fonctionner une montre mécanique. (Certaines montres mécaniques comportent deux barillets, ce qui leur permet une réserve de marche plus importante.)
Ou « alternance ». Chaque rotation du balancier, qu’elle soit dans le sens des aiguilles d’une montre ou dans le sens inverse. Une montre mécanique standard a une moyenne de 28 000 battements par heure (BPH).
Petite boîte, généralement en métal, renfermant le mouvement, le cadran et les aiguilles d’une montre.
Boîtier dont la forme est à mi-chemin entre le rectangle et le rond.
Anneau avec traverse utilisé pour attacher l’extrémité d’une sangle de bracelet à une autre. Il existe deux types de boucles : la boucle ardillon, composée d’une tige articulée qui s’insère au travers de l’extrémité perforée de l’autre sangle, ainsi que la boucle déployante, système articulé qui se replie sur lui-même, que l’on retrouve souvent sur les bracelets métalliques.
Bouton activé par une pression du doigt pour déclencher une complication telle que le chronographe.
Bande généralement constituée de tissu ou de cuir permettant d’accrocher une montre au poignet.
Type de bracelet constitué d’une chaîne de maillons métalliques.
Finition obtenue grâce à des brosses tournantes rondes de différents calibres qui laissent une multitude de minuscules lignes sur le métal afin de le rendre mat.
C
« Contrôle Officiel Suisse des Chronomètres » : institut officiel basé en Suisse qui authentifie de manière indépendante la précision des mouvements et délivre le certificat de « chronomètre ».
Partie principale de la montre qui affiche l’heure et les différentes fonctions, notamment grâce aux aiguilles qui lui sont apposées.
Cadran plus petit que le cadran principal et situé sur ce premier.
Complication qui affiche la date, le jour, le mois et parfois la phase de Lune.
Complication qui affiche la date, le jour, le mois, et ne nécessite qu’un ajustement sur les années bissextiles.
Aussi appelé « quantième perpétuel », ce type de calendrier affiche le jour, le mois, la date et généralement l’année (voire un indicateur des années bissextiles) sans nécessiter aucun ajustement, sauf pour certains calendriers en 2100, où l’année bissextile sera exceptionnellement ignorée.
Aussi appelé « quantième annuel », ce type de calendrier corrige automatiquement le jour du mois, qu’il s’agisse d’un mois à 30 ou à 31 jours. Seul un ajustement est à faire entre février et mars.
Modèle ou conception de mouvement spécifique.
Section centrale d’un bracelet métallique et généralement composé de en trois parties.
Complication permettant à l’utilisateur de mesurer une durée spécifique en partant de zéro. Nom donné par extension à une montre présentant cette complication.
Aussi appelé « double chronographe », type de chronographe capable de mesurer deux durées différentes avec deux aiguilles distinctes.
Montre certifiée pour sa précision, testée et reconnue par un organisme indépendant. En Suisse, le COSC, Contrôle Officiel Suisse des Chronomètres, est le plus important des organismes habilités à délivrer cette certification.
Premières horloges portatives suffisamment fiables pour calculer la longitude.
Fonction d’un mouvement en dehors de l’indication du temps. Les complications varient des plus simples, comme la date par guichet, aux plus complexes, telles que le calendrier perpétuel. Il en existe de simples (petites complications) telles que l’affichage de la date et de plus complexes (grandes complications) telles que le calendrier perpétuel.
Plaque de métal ouvragée fixée sur un seul côté du mouvement et permettant de soutenir le balancier.
Les quatre griffes du boîtier qui permettent de relier le bracelet à la carrure.
Type de décoration fréquemment présent sur les surfaces planes du mouvement (en particulier la surface visible des ponts) et fait de lignes ondulées gravées en relief semblables à de petites vagues.
Bouton souvent situé à droite de la tête de montre utilisé pour contrôler le mouvement de l’extérieur du boîtier, et notamment régler l’heure ou remonter le mouvement sur les montres mécaniques.
Couronne résistant à l’eau grâce à un système composé d’un ressort comprimant un joint.
Verre transparent au travers duquel on peut voir le cadran. Le cristal des anciennes montres était généralement en acrylique, tandis que l’on retrouve souvent sur les plus récentes un verre minéral ou un saphir synthétique.
Cristal fabriqué dans une matière plastique, très utilisé avant le développement de matériaux plus durs tels que le saphir synthétique et qui est généralement moins résistant et se raye plus facilement.
Formes allongées sur les bords de la carrure entourant la couronne pour la protéger.
D
Aussi appelée « quantième », complication qui affiche le jour du mois sous forme d’un nombre, souvent au travers d’un guichet.
Appelée « date quickset » en anglais, fonction permettant de régler la date directement, sans avoir à remonter la montre sur des périodes complètes de 24 heures.
Ensemble des finitions réalisées pour embellir une montre ou ses composants.
« Diamond-Like Carbon » : type de revêtement chimique, habituellement noir, déposé pour colorer et protéger le métal. Sensiblement plus dur et résistant aux rayures que les revêtements PVD.
Capot à encastrer ou à visser au dos du boîtier. Parfois équipé d’un verre d’exposition pour au travers duquel on peut voir le mouvement.
E
Maillons situés aux extrémités d’un bracelet en métal dont la forme spécifique épouse la carrure.
Enchaînement des différentes roues dentées et pignons transmettant l’énergie au mouvement.
Languette pliante que l’on peut retrouver sur un bracelet de montre de plongée qui permet au plongeur de rallonger son bracelet et ainsi de porter sa montre sur sa combinaison sans se servir d’outil.
F
Système sécurisé, généralement en métal, qui permet d’attacher un bracelet. (Voir « boucle »).
Effet de matière décoratif subtil sur le métal : poli, brossé ou grenaillé par exemple.
(Appelé « display/exhibition caseback » en anglais). Fond de boîtier avec fenêtre transparente laissant apparaître le mouvement.
Mesure d’une répétition par seconde (par exemple le nombre d’oscillations du balancier) et dont l’unité est le Hertz (Hz).
Temps normé d’une région de la Terre et différent des autres régions, habituellement fixé en fonction de sa position sur le globe.
Organe de forme de spirale conique sur laquelle s’enroule une chaîne reliée au barillet et permettant de réguler l’énergie transmise au mécanisme.
G
« Greenwich Mean Time » (Temps Moyen de Greenwich) : référence temporelle historique correspondant à l’heure moyenne sur le Méridien de Greenwich, et sur laquelle l’heure des autres fuseaux horaires est calculée.
Montre de haute horlogerie, souvent en édition très limitée, qui combine généralement les trois complications suivantes : quantième perpétuel, chronographe à rattrapante et répétition minute.
Complication qui indique automatiquement par un signal sonore le passage des quarts d’heure grâce à une série de timbres. Contrairement à la petite sonnerie, la grande sonnerie répète également les heures à chaque quart.
Technique de finition réalisée à haute pression par le frottement de microbilles de verre sur une pièce de métal afin de la matifier.
Découpe dans le cadran permettant de voir des indicateurs de temps, par exemple la date.
Technique décorative complexe consistant à graver avec précision des formes géométriques subtilement entremêlées.
H
Marque déposée des verres acryliques Omega.
Aiguille sautant d’heure en heure sur le cadran (ou via un affichage digital par guichet) au lieu de suivre la trajectoire continue et progressive usuelle.
« Helium Excpae Valve », aussi appelée « Helium Release Valve (« valve à hélium » en français) : développée par Rolex en partenariat avec la société commerciale de plongée COMEX, cette valve automatique permettait à l’hélium emprisonné par la montre sous haute pression de s’en échapper pendant la décompression et d’empêcher ainsi le cristal d’éclater.
Discipline consacrée aux instruments propres à mesurer le temps.
I
Marque de systèmes antichoc à ressorts utilisés pour éviter d’endommager le balancier et le rubis en cas de choc.
Marqueurs du cadran qui indiquent les unités incrémentales de temps.
J
Pièce généralement en caoutchouc et comprimée entre deux composants pour renforcer l’étanchéité entre ceux-ci.
« O ring » en anglais, joint en forme de tore (tube fermé sur lui-même), notamment utilisé pour l’étanchéité du fond de boitier.
Complication qui affiche le jour de la semaine en lettres (souvent trois).
L
Matériau luminescent, usuellement sous forme de peinture, permettant de rendre les objets visibles en cas de faible luminosité. Fabriqué historiquement à partir d’éléments radioactifs tels que le radium et le tritium, ce qui n’est plus le cas aujourd'hui.
Anneau métallique qui protège le cristal (ou verre) qui peut être retiré du boîtier en cas de réparation ou de remplacement et utilisé pour des fonctions de chronométrage, notamment en plongé, ou d’indication de fuseau horaire. Certaines lunettes ne peuvent tourner que dans un sens, d’autres dans les deux.
M
Mouvement mécanique qui nécessite un remontage du ressort moteur à la main, par rotation de la couronne.
Se dit d’un mouvement fonctionnant uniquement avec des pièces horlogères, sans aucune pile.
Masse oscillante destinée au remontage automatique, et plus petite qu’un rotor standard.
Montre, généralement à mouvement quartz, capable de capter, stocker et restituer par son fonctionnement l’énergie de la lumière.
Assemblage de pièces permettant de faire fonctionner une montre.
P
Décoration consistant à graver sur du métal des cercles concentriques qui se chevauchent.
Nom de l’aiguille des secondes lorsqu’elle est située sur un cadran secondaire, par opposition à l’aiguille des « grande seconde » apposée au centre du cadran central avec les aiguilles des heures et des minutes.
Complication qui indique automatiquement par un signal sonore le passage des quarts d’heure grâce à une série de timbres. Contrairement à la grande sonnerie, la petite sonnerie ne répète pas les heures à chaque quart.
Complication qui permet une représentation des différentes phases lunaires.
Engrenage circulaire sur lequel est rivée une roue.
Support du mouvement sur lequel les pièces sont attachées. Le cadran se trouve de l’autre côté.
Marque frappée sur le métal pour en indiquer l’origine et assurer de son authenticité, ou pour attester la certification d’une montre à un certain standard tel que le Poinçon de Genève ou l’étanchéité.
Sceau officiel de la ville de Genève (Suisse) attribué à certains fabricants qui répondent à un ensemble de critères d’assemblage et de finition extrêmement rigoureux et requérant une très haute technicité.
Technique de finition rendant le métal très brillant.
Plaque fixée au mouvement par au moins deux vis pour maintenir l’assemblage des pièces.
« Physical Vapor Deposition » (« Dépôt Physique en Phase Vapeur » en français) : traitement chimique de surface consistant à un dépôt de vapeur physique pour protéger et teinter un matériau, généralement le métal. N’est pas aussi résistant aux rayures que le DLC.
Q
Second matériau le plus abondant de la croûte terrestre, notamment utilisé pour fabriquer des piles qui produisent par une impulsion électrique des oscillations régulières permettant de mesurer le temps. Une montre à quartz fonctionne avec ce type de pile.
R
Matériau fortement radioactif utilisé au début du xxème siècle pour produire une peinture luminescente appliquée sur des éléments du cadran pour une meilleure lisibilité dans l’obscurité.
Complication traditionnellement utilisée lors des courses nautiques pour faire le décompte des minutes avant le départ.
Entretoise permettant de combler le vide entre le cadran et le verre de la montre (aussi appelée « lunette à rehaut »).
Rotation de la couronne à la main pour enrouler le ressort moteur d’un mouvement mécanique.
Complication qui, sur demande, permet de sonner successivement via le jeu de différents timbres les heures, les quarts, et les cinq minutes. Par extension, nom de la montre qui présente cette complication.
Également appelée « répétition décimale ». Complication qui, sur demande, permet de sonner successivement via le jeu de différents timbres les heures, les quarts, et les dix minutes. Par extension, nom de la montre qui présente cette complication.
Complication qui, sur demande, permet de sonner successivement via le jeu de différents timbres les heures, les quarts et les minutes. Par extension, nom de la montre qui présente cette complication.
Complication qui, sur demande, permet de sonner via le jeu de différents timbres les heures et les quarts.
Complication qui permet de mesurer l’énergie restante pour faire fonctionner le mouvement. Également la mesure de cette énergie.
Capacité d’une montre à maintenir son étanchéité en immersion à différentes profondeurs, exprimée par la profondeur (en mètres ou en pieds) ou la pression en atmosphère normale à cette profondeur (unité : ATM/bar).
ATM/Bar | Pieds | Mètres | Caractéristiques |
1 | 33 | 10 | Imperméable/imperméable aux éclaboussures, c'est-à-dire de l’exposition accidentelle à l'eau. |
3 | 100 | 30 | Résiste aux éclaboussures mais inadapté à l’immersion dans l’eau |
5 | 165 | 50 | Résiste à l’immersion brève dans l’eau calme, en surface (pas de plongeons) |
10 | 330 | 100 | Adapté à la natation, aux sports nautiques et à la plongée en apnée |
30+ | 1000+ | 300+ | Adapté à la plongée en apnée et à la bouteille |
Capacité à protéger le mécanisme de la montre des chocs, notamment le balancier et le rubis, à l’aide de petits ressorts.
Ressort qui fournit de l’énergie au mouvement une fois enroulé dans le barillet.
Aussi appelée « flyback », cette complication permettant à l’aiguille des secondes sur un chronographe d’être immédiatement réinitialisée et redémarrée pour un nouveau chronométrage.
Une échelle de mesure linéaire, non-circulaire (même si parfois représentée sur un arc de cercle), dont l’aiguille retourne instantanément en position initiale lorsque qu’elle en touche la fin, avant de repartir pour un nouveau cycle.
Masse oscillante qui tourne avec le mouvement naturel du poignet pour enrouler le ressort moteur et ainsi fournir à la montre l’énergie nécessaire pour fonctionner.
Désigne l’ensemble de pièces d’une montre qui permet, via un ensemble de roues dentées et de pignons, la transmission de l’énergie au mouvement.
Élément de base d’un mécanisme de transmission composé d’une roue de forme semblable à une tourelle de château qui coordonne les différentes phases du chronographe à l’aide d’un engrenage, plutôt que par frottement vertical comme dans un mécanisme à levier ou à cames, plus basiques.
Roue à dents crantées faisant partie de l’échappement et qui aide à alimenter le mouvement emmagasiné par le ressort moteur de manière régulière et contrôlée, grâce à l’ancre d’échappement qui la bloque et la débloque par intermittence.
Pièce en forme de disque à haute résistance permettant de minimiser les frictions entre différentes pièces d’un un mouvement. Traditionnellement naturels, ils sont désormais largement synthétiques.
S
Finition mate obtenue par frottement avec du sable projeté à haute pression sur le métal.
Matériau transparent extrêmement dur et résistant aux rayures utilisé pour fabriquer le verre des montres.
Mouvement sans à-coups décrit par une aiguille des secondes « en continu » sur un mouvement mécanique traditionnel, par opposition avec le mouvement saccadé de l’aiguille des secondes d’une montre à quartz.
Également appelée « diablotine ». Complication présente sur certains chronographes, dont l’aiguille fait le tour du cadran en une seconde, et s’arrête pour indiquer les quarts, cinquièmes ou huitièmes de seconde.
Aiguille des secondes se déplaçant d’un saut à chaque seconde, et non de manière progressive et continue. Généralement présente sur les montres à quartz, beaucoup plus rare et complexe à réaliser sur une montre mécanique.
Ressort enroulé en spirale qui ramène le balancier à sa position de départ pour permettre de découper le temps en portions égales.
Spiral inventé par Abraham Louis Bréguet, dont l’extrémité est recourbée pour éviter la déformation et le désaxage du ressort moteur lors de ses contractions et extensions successives, garantissant ainsi une oscillation plus stable et une meilleure précision.
Tubes à ressorts épinglés entre les cornes permettant de fixer les sangles du bracelet au boîtier de la montre.
Mouvement dont certaines parties ont été ajourées pour être visibles, souvent placé entre deux glaces saphir.
Complication arrêtant sur demande l’aiguille des secondes, permettant ainsi à l’utilisateur de régler une montre le plus précisément possible.
Marque déposée de peintures luminescentes non radioactives, notamment utilisées sur les index et aiguilles des montres de plongée pour en améliorer la lisibilité.
T
Marque sur le cadran indiquant l’utilisation de peinture radioactive luminescente émettant moins de radiations que la limite légale de 25 millicuries (mci).
Échelle sur le tour de la lunette ou au bord du cadran d’un chronographe et qui peut être utilisée en combinaison avec l’aiguille des secondes pour mesurer une vitesse.
Barre fine qui relie la couronne au mouvement pour lui permettre le réglage du mécanisme.
Forme de boîtier à mi-chemin entre une forme ronde et une forme carrée.
Mécanisme inventé par Abraham-Louis Bréguet pour améliorer la précision du mouvement en compensant les écarts de marche dus à la gravité terrestre dans les positions verticales, grâce à une cage mobile dans laquelle sont placés l’échappement et l’organe régulateur, qui tournent ainsi sur plusieurs axes au lieu d’un seul.
Tourbillon dont la spécificité est d’être monté sur un coq (pont fixé d’un côté seulement), plutôt que sur un pont traditionnel, ce qui donne l’impression qu’il « vole ».
Matériau radioactif utilisé pour produire une peinture luminescente sur les cadrans de montres au xxème siècle.
U
« Universal Time Coordinated » en anglais, « Temps Universel Coordonné » en français : norme officielle de l’heure nationale, basée sur le GMT.
V
Alternative moins coûteuse au saphir synthétique utilisé pour le verre des montres, mais cependant moins résistante aux rayures.
Affichage présent sur certaines montres comportant une graduation sur vingt-quatre heures, permettant à l’utilisateur de se situer dans la journée, avant ou après midi.
« Vibrations Par heure » : nombre de rotations effectuées par le balancier en une heure.
Z
Utilisé par les militaires, autre nom de l’heure GMT.